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Who will enable Canada to grow?

Maui, Hawaii – July 28, 2015

This week trade Ministers from 12 Pacific countries, including Canada, could conclude an agreement to make it easier to trade with 40% of the world’s economy. But despite the fact that we’re a small economy that depends on trade, much of the public and political dialogue on the Trans Pacific Partnership has been focused inward. This is a mistake.

By focusing inward, we’re ignoring how improved access to international markets will grow our economy, create jobs and support communities. With so little attention to what exporters need from the TPP, who is standing up to keep Canada competitive in the global economy?

The opportunities and consequences of the TPP for Canada’s exporters are real. A substandard deal or Canada not being part of the TPP would handicap economic growth and job creation for at least the next two generations of Canadians. Take the agri-food sector as an example.

Over the last 10 years in Canada, agriculture and agri-food exports have grown by 77%, from $31 billion to over $56 billion – boosting farm cash receipts by 46% over the same period.

We’ve done this because we are globally competitive. An ambitious TPP deal could enable even more growth, along with the jobs that come with it.

Without a good TPP deal, farmers and processors in Canada will be disadvantaged relative to those in Australia or the US. Why should Canadians accept this?

For Canadian barley farmers and value-added processors the TPP could increase exports by 150,000 tonnes worth $80 million. More export opportunities for pork and beef would also significantly increase demand for feed barley.

For wheat, not being part of the agreement would put at risk 1.5 to 2 million tonnes of premium exports to Japan. If Canada is not a founding member of the TPP, Canadian wheat farmers would cede growing premium markets in the Asia Pacific region to our competitors.

For canola, eliminating tariffs through the TPP would boost exports of value-added oil and meal by 1 million tonnes, worth $780 million. A TPP with Canada on the outside would hamper the competitiveness of 43,000 canola farmers and the entire value chain – putting at risk our longstanding $1.2 billion annual exports to Japan.

Last year, Canada exported over $2.3 billion worth of grains, oilseeds, pulses, and special crops to Japan, Malaysia and Singapore. These sales, along with the jobs and opportunity they create, could disappear without securing a plurilateral TPP agreement, or worse, if Canada is left behind.

With the TPP the Canadian beef sector could double or triple its current $100 million in exports to Japan as well as lock in access to developing markets like Vietnam that will be of growing importance in the future.   As a founding member of TPP, Canada can set the terms of entry for future members – such as seeking the acceleration of tariff elimination in our existing agreement with Korea.

A TPP with Canada on the outside would place at risk $1 billion of current meat exports, and see a rapid decline of up to forty percent in the volume of pork exports to Japan, a market where the value of Canadian pork is much higher than most other markets. This would place over four thousand jobs in jeopardy.

For Canada’s refined sugar and sugar-containing products sector, the TPP is the only opportunity to address unfinished business in the NAFTA.  A successful TPP could fix the $120 million annual loss in access to the US market that came from the NAFTA and WTO, supporting investment and exports from Canada’s $18 billion sugar-using food processing sector.

With over hundreds of thousands of Canadian agri-food jobs tied to export markets, it’s clear that a successful TPP is critical to all Canadians. Not just to maintain what we have now, but to allow continued growth in exports, jobs and prosperous communities.

The question is, who is thinking about where our future growth will come from and making sure that the TPP will deliver for Canadian exporters?

Let’s hope that all political leaders recognize the importance of the TPP for Canadian exporters and support a deal that enables our economy to continue growing.

Brian Innes is the President of the Canadian Agri-Food Trade Alliance.

For further information, contact:

Claire Citeau
Executive Director, CAFTA
cciteau@cafta.org

Qui va favoriser la croissance du Canada?

Maui, Hawaii – Le 28 juillet 2015 

Cette semaine, les Ministres du commerce de 12 nations du Pacifique, dont le Canada, se rencontrent à Hawaii et sont en passe de conclure l’accord qui devrait faciliter les échanges commerciaux avec 40% de l’économie mondiale. Pourtant, en dépit du fait que le Canada soit une économie qui dépende du commerce international, le discours dans l’opinion publique et sur la scène politique, à propos du Partenariat Transpacifique (PTP), s’est focalisé sur le repli sur soi. Ceci est une erreur.

Le discours du repli sur soi occulte les opportunités de croissance qu’offre l’ouverture, l’accès aux marchés internationaux et ses retombées économiques, qu’il s’agisse de création d’emploi, de développement des communautés ou autres. L’absence du discours de l’ouverture et de ce dont les exportateurs canadiens ont besoin dans le PTP, force à poser la question « Qui pour défendre la compétitivité du Canada dans l’économie mondiale? ».

Pour le Canada et pour les exportateurs à travers cette nation, les opportunités et les enjeux du PTP sont réels, tangibles. S’il s’avérait que le PTP soit un accord peu ambitieux, ou que le Canada ne fasse pas partie de l’accord, la croissance économique viendrait à s’étouffer, de même que la création d’emploi, pour au moins deux générations de Canadiens à venir. Prenez l’agriculture et l’agroalimentaire pour exemple.

Sur ces 10 dernières années, les exportations du Canada en agriculture et agroalimentaire ont augmentées de 77%, passant de 31 milliards en 2004 à $56 milliards en 2014, entrainant une croissance du revenu agricole de près de 46% sur la même période. Si nous sommes parvenu à des tels résultats, c’est parce que le Canada est compétitif globalement. An PTP ambitieux pourrait justement permettre encore plus de croissance et de création d’emplois.

Sans un accord ambitieux et plurilateral pour le Canada, les fermiers, exportateurs et processeurs seront désavantagés vis-à-vis de leurs compétiteurs mondiaux, tel les États-Unis et l’Australie. Pourquoi les Canadiens devraient-ils accepter un tel accord?

Au Canada, pour les producteurs et transformateurs d’orge, le PTP pourrait augmenter les exportations de 150,000 tonnes additionnels, soit $80 million. De meilleures opportunités pour les aliments bovins et porcins engendrent, à leur tour, une plus forte demande d’orge.

Pour les producteurs de blé canadiens, si le Canada n’était pas un membre fondateur du PTP, entre 1,5 et 2 millions de tonnes de blé de qualité exportés vers le Japon seraient menacées et leurs parts de marchés dans les pays de l’Asie et du Pacifique seraient reprises par leurs concurrents.

Alors que quatre-vingt-dix pour cent de la récolte de canola du Canada est exportée sous forme de graines et de produits transformés, la levée des barrières tarifaires dans la région du PTP permettrait l’exportation d’1 million de tonnes supplémentaires d’huile et de tourteau de canola, soit environ $780 million. Un accord sans le Canada mettrait en danger les exportations de $1,2 milliards par an vers le Japon évalués. Également en danger, la compétitivité de 43,000 producteurs de canola et toute la chaine de valeur.

En 2014, le Canada a exporté plus de $2.3 milliards de grains, oléagineux, légumineux, et cultures spéciales vers le Japon, la Malaisie et Singapour. Ces ventes, ainsi que les emplois et opportunités qu’elles génèrent pourraient disparaitre sans un accord PTP plurilateral, ou pire si le Canada ne faisait pas partie du PTP.

Pour le secteur du bœuf canadien, le PTP pourrait contribuer à doubler, voire tripler, les exportations de bœuf au Japon, actuellement de $100 million. En tant que membre fondateur du PTP, le Canada peut contribuer à établir les règles du commerce pour l’entrée dans l’accord de futurs arrivants – comme par exemple, l’accélération de l’élimination des tarifs avec la Corée, inscrit dans notre accord Canada –Corée.

Pour le secteur des viandes, la perte de la parité d’accès au marché japonais menacerait immédiatement au moins un milliard de dollars d’exportations actuelles et verrait une baisse rapide de près de quarante pour cent du volume d’exportations de porc au Japon, un marché où la valeur du porc canadien est beaucoup plus élevée que sur la plupart des autres marchés. Ceci mettrait 4,000 emplois en danger.

Enfin, le PTP présente une opportunité de renforcer le marché intégré nord-américain (ALENA) en levant les barrières d’accès au marché pour l’industrie du sucre canadien et ses produits dérivés et en les intégrant comme intrants compétitifs au sein de la chaine de valeur agroalimentaire nord-américaine.

Pour l’industrie du sucre canadien et ses produits dérivés, le PTP est la seule opportunité pour traiter d’éléments exclus de l’ALENA. Le PTP pourrait éviter des pertes annuelles de $120 million dues aux barrières d’accès au marché américain dérivées de l’ALENA et de l’OMC et pourrait contribuer à l’investissement et aux exportations du secteur de la transformation agroalimentaire qui utilise du sucre, un secteur évalué à plus de $18 milliards.

Des centaines de milliers d’emploi au Canada sont liés aux exportations, il est clair qu’un PTP réussi est crucial pour tous les Canadiens. Non pas seulement pour maintenir et protéger ce que nous avons acquis, mais pour favoriser, sur le long terme, la croissance par les exportations, la création d’emplois et des communautés prospères.

La question est, qui se soucie de permettre la croissance future du Canada? Qui s’assure que le PTP tienne ses promesses pour les exportateurs canadiens?

Espérons que les responsables politiques réalisent l’importance du PTP pour les exportateurs canadiens et se lèvent pour défendre et appuyer un accord qui apporte à notre économie, un relai de croissance pour le futur.

Brian Innes est le President de l’Alliance Canadienne du Commerce Agroalimentaire

Pour obtenir d’autres renseignements, veuillez communiquer avec :

Claire Citeau
Directrice générale, ACCA
cciteau@cafta.org

Déclaration de l’Alliance Canadienne du Commerce Agroalimentaire concernant les pourparlers commerciaux du Partenariat transpacifique

Maui, Hawaï, 23 juillet 2015 – À l’annonce de la rencontre des négociateurs en chef du Partenariat transpacifique (PTP) et des ministres du Commerce, à Hawaï, du 24 au 31 juillet, le président de l’Alliance canadienne du commerce agroalimentaire (ACCA), Brian Innes, a fait la déclaration suivante sur la situation des pourparlers commerciaux du PTP :

« Nos membres, représentant le secteur agricole et agroalimentaire à travers le Canada, exhortent tous les partis politiques de s’assurer que le Canada fasse partie de cet accord commercial historique et de soutenir un accord ambitieux, plurilatéral et complet du PTP pour le Canada.

Au moment où nous entrons dans une phase cruciale des négociations, nos membres, qui génèrent des milliards de dollars pour l’économie, produisent 80 pour cent des exportations agricoles et agroalimentaires du Canada et emploient directement 500 000 Canadiens, ne peuvent insister assez sur l’importance de participer à cet accord historique avec une région qui représente 40 pour cent de l’activité économique mondiale et un marché de 800 millions de personnes.

À cet égard, nous demandons à tous les chefs des partis politiques de s’assurer que le Canada maintienne sa pleine participation au PTP au moment même où nous entrons dans l’étape finale et la plus critique des négociations. Le Congrès américain des États‑Unis ayant déjà conféré au président Obama l’autorité de conclure les négociations, il est évident que le PTP peut être conclu, très rapidement – et ce, avec ou sans le Canada. Il est impératif que le Canada soit présent lorsque le PTP est finalisé et que les négociations aboutissent à un accord plurilatéral – sans un accord plurilatéral des répercussions se feraient sentir dans l’ensemble de notre économie, étant donné que notre part de marché dans les pays du PTP commencerait à s’éroder.

En agissant maintenant, nous pouvons maintenir la possibilité d’obtenir le meilleur accord qu’il soit pour le Canada. Les acheteurs des pays de la région de l’Asie‑Pacifique importent en quantité et en qualité, nos grains, viandes, oléagineux, légumineux, canola, céréales, maïs, orge, malt et produits du sucre. La priorité doit être donnée à un accès compétitif : avant tout, la mise à égalité avec nos concurrents mondiaux est primordiale pour garantir l’avenir de nos agriculteurs, producteurs, transformateurs et exportateurs. »

Faits saillants :

  • Le Canada exporte plus de la moitié de sa production agricole et agroalimentaire – cela représente plus de la moitié de notre bœuf/bovin, 70% de notre porc, 65% de notre malt, 75% de notre blé et plus de 90% de notre canola.
  • Le Canada exporte 56 milliards de dollars par année en produits agricoles et agroalimentaires – 65 pour cent sont absorbés par la région du PTP
  • Le Canada compte plus de 220,000 fermes – plus de 90 pour cent des agriculteurs du Canada dépendent des exportations, ainsi qu’environ 40 pour cent de notre secteur de transformation des aliments.
  • Les pays du PTP regroupent certain des importateurs les plus importants de produits agricoles et agroalimentaires canadiens (en volume et en qualité), y compris les États-Unis, le Japon, le Mexique et des pays émergents en forte croissance tels le Vietnam, la Malaisie et Singapour.

 

 

L’ACCA est une coalition d’organismes nationaux et régionaux qui appuient un environnement commercial international plus ouvert et transparent pour notre secteur agricole et agroalimentaire. Les membres de l’ACCA comprennent les regroupements de producteurs, de transformateurs, de négociants et d’exportateurs des grands secteurs qui dépendent du commerce au Canada : le bœuf, le porc, le sucre, les céréales, les oléagineux, les légumineuses, la canola, les grains et le malt. Ensemble, ces secteurs produisent près de 80 pour cent des exportations agroalimentaires du Canada, réalisent 50 milliards de dollars d’affaires par année et emploient directement près de 500 000 Canadiens.

 

Pour obtenir d’autres renseignements, veuillez communiquer avec :

Claire Citeau

Directrice générale, ACCA

cciteau@cafta.org

 

Statement by the Canadian Agri-Food Trade Alliance on Trans-Pacific Partnership Trade Talks

Maui, Hawaii, July 23, 2015 – On news that Trans-Pacific Partnership’s (TPP) chief negotiators and trade ministers will meet July 24-31 in Hawaii, Canadian Agri-Food Trade Alliance (CAFTA) President Brian Innes issued the following statement on the status of the TPP trade talks:

“Our members from across Canada’s agriculture and agri-food industry call on all political parties to ensure that Canada is part of this landmark trade agreement and that they support an ambitious, plurilateral and comprehensive TPP agreement.”

As we enter a critical juncture in the talks, our members, who contribute billions to the economy, produce 80 per cent of Canada’s agriculture and agri-food exports and directly employ 500,000 Canadians, cannot stress enough the importance of participating in this historic deal with a region that represents 40 per cent of the world’s economic activity.

With this in mind, we are calling leaders of parties to ensure that Canada remains fully engaged in the TPP negotiations as we head into the 11th hour and most critical time of the deal. With the U.S. Congress having now granted President Obama Trade Promotion Authority, it should be clear to everyone that the TPP can be concluded quickly – with or without Canada. It is imperative that Canada is at the table when the TPP is finalized. The impact of the failure to achieve a plurilateral agreement would be felt throughout our economy, as our market share in TPP countries would begin to erode.

By acting now, we can preserve our opportunity to get the best possible deal for Canada. Asia-Pacific countries are top buyers of high value Canadian grains, oilseeds, meats, malt, barley, pulses, soybeans, corn and sugar products. We must prioritize equal access for our farmers, producers, processors and exporters to this region to secure our agricultural future.”
Quick Facts:
• Canada exports over half of the agri-food products that we grow – that is half of our beef/cattle, 70% of our hogs/pork, 65% of our malt, 75% of our wheat, and over 90% of our canola.
• Canada exports $56 billion a year in agricultural and agri-food products – 65 percent of which go to the TPP region.
• There are over 220,000 farms across Canada. Over 90 per cent of Canada’s farmers are dependent on exports as well about 40 per cent of our food processing sector.
• TPP countries include Canada’s largest and high value importers for agriculture and agri-food products including the United States, Japan and Mexico and emerging markets with strong economic growth such as Vietnam, Singapore and Malaysia.

CAFTA is a coalition of national and regional organizations that support a more open and fair international trading environment for agriculture and agri-food. CAFTA’s members include producer organizations, processors, marketers and exporters from the major trade dependent sectors in Canada. Together, these sectors produce almost 80 per cent of Canada’s agriculture and agri-food exports, conduct about $50 billion in business annually and directly employ close to 500,000 Canadians.
For further information, contact:

Claire Citeau
Executive Director, CAFTA
cciteau@cafta.org

L’ACCA ravie de nouvelles opportunités d’accès au marché pour les exportateurs agricoles et agroalimentaires canadiens

Ottawa, July 15, 2015 – Suite à l’annonce faite par le gouvernement du Canada de la signature d’un accord de libéralisation du commerce entre le Canada et l’Ukraine, le président de l’Alliance canadienne du commerce agroalimentaire (ACCA), Brian Innes, a publié la déclaration qui suit :

« À titre de porte-parole des exportateurs de produits agricoles et agroalimentaires canadiens, l’ACCA continue d’appuyer fortement tout accord de libre-échange ambitieux qui offre au secteur agricole des occasions d’accès complet au marché.

Nos membres appuient les occasions suscitées par les accords de libre-échange pour stimuler le commerce et la production et augmenter la compétitivité en éliminant les barrières tarifaires et non tarifaires imposées aux importations.

Le Canada est un pays bâti sur le commerce et le fait d’augmenter l’exportation de nos produits agricoles et agroalimentaires profite directement aux agriculteurs, éleveurs, transformateurs et exportateurs, et aux 500 000 Canadiens qu’ils emploient à travers le pays.

Les accords de libre-échange comme celui avec l’Ukraine aident les Canadiens du secteur compétitif de l’exportation mondiale des produits agroalimentaires qui exportent la moitié de notre production de bœuf, 65 pour cent de notre orge de brasserie, les deux tiers de notre porc, près de 75 pour cent de notre blé et 90 pour cent de notre canola. »

L’ACCA est une coalition d’organismes nationaux et régionaux qui appuient un environnement commercial international plus ouvert et transparent pour notre secteur agricole et agroalimentaire. Les membres de l’ACCA comprennent les regroupements de producteurs, de transformateurs, de négociants et d’exportateurs des grands secteurs qui dépendent du commerce au Canada. Ensemble, ces secteurs produisent près de 80 pour cent des exportations agroalimentaires du Canada, font environ 50 milliards de dollars d’affaires par année et emploient directement près de 500 000 Canadiens.

Pour obtenir plus d’information, communiquer avec :

Claire Citeau
Directrice générale, ACCA
cciteau@cafta.org
613-560-0500

CAFTA welcomes new market access opportunities for Canadian agriculture and agri-food exporters

Ottawa, July 15, 2015 – On news that the Government of Canada has completed a trade liberalization deal between Canada and the Ukraine, Canadian Agri-Food Trade Alliance (CAFTA) President Brian Innes issued the following statement:

“As the voice of Canadian agriculture and agri-food exporters, CAFTA continues to express strong support for ambitious free-trade agreements that achieve comprehensive market access opportunities for agriculture.

Our members support the opportunities created by free-trade agreements to boost trade, production and increase competitiveness by eliminating import tariffs and other non-tariff barriers.

Canada is a nation built on trade, and increasing exports of our agriculture and agri-food products directly benefits the farmers, producers, processors and exporters across Canada and the 500,000 Canadians membership employ.

Free-trade agreements such as the agreement with Ukraine will help Canadians involved in our globally competitive agri-food export sector that exports half of our beef production, 65 per cent of our malt barley, two-thirds of our pork, almost 75 per cent of our wheat and 90 per cent of our canola.”

CAFTA is a coalition of national and regional organizations that support a more open and fair international trading environment for agriculture and agri-food. CAFTA’s members include producer organizations, processors, marketers and exporters from the major trade dependent sectors in Canada. Together, these sectors produce almost 80 per cent of Canada’s agriculture and agri-food exports, conduct about $50 billion in business annually and directly employ close to 500,000 Canadians.

For further information, contact:

Claire Citeau
Executive Director, CAFTA
cciteau@cafta.org
613-560-0500